mardi 16 novembre 2010
Evidemment,   il y a les poncifs du genre  : les bêtes, araignées métalliques et   préhistoricomophiques à la Starship Troopers qui sont le fait d'un   complexe militaro-scientifico-industriel pas très au fait du principe de   précaution, les « prenez soin de mon fils s'il m'arrive quelque chose »   d'un père de famille éploré à une blonde temporairement survivante,   dont on espère bien qu'elle ne fera pas qu'astiquer le carnet de notes   du potentiel orphelin, qui ne panique d'ailleurs pas trop, vu qu'il est   bien élevé... mais le tout torturé, trituré, bancal, et surtout   s'achevant dans un jouissif « on n'a jamais l'air aussi con qu'en se   persuadant à sa propre malédiction, tout en essayant de prendre les   choses en mains » que The Mist  vaut définitivement le détour. C'est amusant, tout ce bordel en ce moment, et les gens qui en ont marre tout ça parce qu'on aligne un peu la France sur le bon sens...
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